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Je te dois un compliment bien sincère, en finissant cette lettre, ma chère Fanchon, c’est que tu traites tout ce que tu m’écris, de la manière la plus intéressante; tu me touches, tu m’attendris, et Mme Parangon en particulier, est enchantée de ton style et de tes sentiments. Adieu, sœurette bonne amie: ménage-toi. Tu nourris ton fils; cela te met à l’abri de bien des petits inconvénients, auxquels j’entends dire que les femmes de Paris sont sujettes.

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