je ne me lasse pas de vous écrire, belle Ninon, ou plutôt belle Aspasie: mais vous pourriez trouver que je pérore un peu trop longtemps. Je finis par la plus importante de mes maximes: peu de rouge, ou point s’il est possible, ne pas se mettre par des veilles, ou par des nuits trop occupées, dans le cas d’en avoir besoin, de fréquentes ablutions dans la zone torride; c’est un pays chaud, qui doit être tenu comme les appartements d’Amsterdam, qu’on lave deux ou trois fois par jour. Adieu, charmante sœur de mon meilleur ami.
P.-S. – Que personne ne voie cette lettre, ni Edmond, ni même Laure. Gardez vous-même vos secrets, et ils ne seront pas trahis.