l’enfant qui trouvait l’effroyable imprécation d’une Fausta au seuil de la vie, qui héritait peut-être de l’incalculable force de mal qui résidait dans l’esprit de Fausta, et en qui palpitait peut-être l’âme magnanime de Pardaillan?… Que devaient produire, au choc des passions, ces deux forces ennemies qui s’unissaient dans le même sang: l’intrépide, l’éclatante bonté du père… l’éclatante, l’intrépide malfaisance de la mère?…
C’est ce qu’un jour ou l’autre nous raconterons peut-être aux lecteurs amis qui ont bien voulu s’intéresser à l’histoire de Pardaillan et de Fausta.