[24] C’est ainsi que cela se passait en Espagne pendant le séjour que j’y fis de 1824 à 1825.
[25] L’exécution de Norbert et de Després a eu lieu cette année le lendemain de la mi-carême.
[26] Selon M. Fregier, l’excellent historien des classes dangereuses de la société, il existe à Paris trente mille personnes qui n’ont d’autres moyens d’existence que le vol.
[27] Les deux femmes.
[28] Mort aux honnêtes gens! Vivent les voleurs et les assassins!…
[29] Femme.
[30] Nous rappellerons au lecteur qu’environ quinze mois se sont passés depuis le jour où Rodolphe a quitté Paris par la barrière Saint-Jacques, après le meurtre du Chourineur.
[31] Cette date est incohérente avec deux lettres qui vont suivre (de Rigolette au chapitre IV, de Rodolphe au chapitre VII). Il s’agit du 25 août 1841. (Note du correcteur – ELG.)
[32] Le nom de Marie rappelant à Rodolphe et à sa fille de tristes souvenirs, il lui avait donné le nom d’Amélie, l’un des noms de sa mère à lui.
[33] Nous rappellerons au lecteur, pour la vraisemblance de ce récit, que la dernière princesse souveraine de Courlande, femme aussi remarquable par la rare supériorité de son esprit que par le charme de son caractère et l’adorable bonté de son cœur, était Mlle de Medem.
[34] En arrivant en Allemagne, Rodolphe avait dit que Fleur-de-Marie, longtemps crue morte, n’avait jamais quitté sa mère la comtesse Sarah.
[35] Environ six mois se sont passés depuis que Fleur-de-Marie est entrée comme novice au couvent de Sainte-Hermangilde.
[36] Dans quelques circonstances, on élevait une religieuse à la dignité d’abbesse le jour même de sa profession. Voir la Vie de très-haute et très-religieuse princesse Mme Charlotte-Flandrine de Nassau, très-digne abbesse du royal monastère de Sainte-Croix, qui fut élue abbesse à dix-neuf ans.
[37] Travail et Salaire, par M. Prosper Tarbé, substitut du procureur du roi à Reims. Paris, 1841.
[38] Bulletin des Tribunaux, 8 juin 1843. Cour d’assises, présidence de M. Bresson.