– Adieu, Pardaillan, dit doucement Fausta.
– Non, pas adieu, par tous les diables! railla une dernière fois Pardaillan, à moitié endormi, pas adieu, mais au revoir… Diantre! nous sommes gens de revue… nous avons à régler…
Les derniers mots expirèrent sur ses lèvres et il demeura immobile, raide comme un cadavre, endormi… mort, peut-être.