{au Refrain}
Si les vents du large te ramènent
Rien n'est vraiment fini
Tant que l'eau s'endort aux yeux des reines
Comme au lit des rivières
Tant que nos mains se souviennent
Les vents du large parfois ramènent
Le marin qui se perd
Tant que ta voix suit la mienne
Rien n'est vraiment fini
Vraiment
S'il n'en restait qu'une (je serais celle-là)
Paroles: Françoise Dorin. Musique: David Gategno 2007 "D'elles"
Et s'il n'en restait qu'une
Pour jouer son bonheur
Et miser sa fortune
Sous le rouge du cœur
Pour accepter les larmes
Accepter nuit et jour
De se livrer sans arme
Aux griffes de l'amour
Et s'il n'en restait qu'une
À n'être pas blasée
Et pleurer pour deux thunes
Sur un vieux canapé
Oui s'il n'en restait qu'une
Pour l'amour cinéma
Oui s'il n'en restait qu'une
Je serais celle-là
Et s'il n'en restait qu'une
Pour aller bravement
Rêver au clair de lune
Au bras de son amant
Et pour avoir l'audace
De confier en été
À l'étoile qui passe
Des vœux d'éternité
Et s'il n'en restait qu'une
Pour bêtement tracer
Sur le sable des dunes
Deux cœurs entrelacés
Oui s'il n'en restait qu'une
Pour l'amour grand format
Oui s'il n'en restait qu'une
Je serais celle-là
Et s'il n'en restait qu'une
Pour oser affirmer
Qu'il n'est pire infortune
Que de ne pas aimer
De suivre au bout du monde
Sans question, sans contrat
Je serais celle-là
Et s'il n'en restait qu'une
Pour envier le manège
Où les uns et les unes
Depuis toujours se piègent
Pour envier leurs folies,
Leurs excès leurs tracas
Je serais celle-là
Et s'il n'en restait qu'une
Pour chercher sans pudeur
Une épaule opportune
Où cacher son bonheur
Et s'il n'en restait qu'une
Pour l'amour à tout va
Oui, s'il n'en restait qu'une
Je serais celle-là
S'il suffisait d'aimer
Paroles et Musique: Jean-Jacques Goldman 1998 "S'il suffisait d'aimer"
Je rêve son visage je décline son corps
Et puis je l'imagine habitant mon décor
J'aurais tant à lui dire si j'avais su parler
Comment lui faire lire au fond de mes pensées?
Mais comment font ces autres à qui tout réussit?
Qu'on me dise mes fautes mes chimères aussi
Moi j'offrirais mon âme, mon cœur et tout mon temps
Mais j'ai beau tout donner, tout n'est pas suffisant
{Refrain:}
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Si l'on changeait les choses un peu, rien qu'en aimant donner
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
J'ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d'autres ont versées
La vie n'est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris même en fermant
Dans un jardin l'enfant, sur un balcon des fleurs
Ma vie paisible où j'entends battre tous les cœurs
Quand les nuages foncent, présages des malheurs
Quelles armes répondent aux pays de nos peurs?
{Refrain}
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Si l'on pouvait changer les choses et tout recommencer
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Nous ferions de ce rêve un monde
S'il suffisait d'aimer
Seul un oiseau blanc
"Les voix du Bon Dieu"
Seul un oiseau blanc
Connaît le cœur de l'océan
Oui seul un oiseau blanc
Connaît le vent
Il a parcourut tous les ici tous les ailleurs
Pense a ce qu'il a vu d'en haut en quelques heures
Je suis comme la mer comme un pays d'ailleurs
Seul un oiseau blanc
Connaît mon cœur
Seul un oiseau blanc
Me parle de mon âme
Seul un oiseau blanc
Me connaît vraiment
Je peux tout lui dire
Ce que je pense de plus fou
Qui pourrait faire sourire les gens chez-nous
Il est mon ami
Je n'ai pas peur de lui parler
Il gardera pour lui le nom de mon secret
Je suis comme la mer comme un pays d'ailleurs
Seul un oiseau blanc
Connaît mon cœur
Seul un oiseau blanc
Me parle de mon âme
Seul un oiseau blanc
Me connaît vraiment