Tahar Ben Jelloun situe son univers romanes lue du cote de l'espace urbain. A partir de l'ecriture de ce lieu, la ville, il tisse son texte urbain, en trace la topographie. Les phrases de son texte ecrivent les rues des villes qu'il porte en lui. Ville sacree, villes profanes : elles n'en finissent pas de nommer le lieu de naissance et les lieux de residence, la langue maternelle et les langues etrangeres : C'est ce corps a corps de : l'ecrivain avec les villes avec les langues dont veut rendre compte cet essai.