Dernière lettre de Gérard de Nerval
[à Mme Alexandre Labrunie, tante de l’écrivain]
Ma bonne et chère tante, dis à ton fils qu’il ne sait pas que tu es la meilleure des mères et des tantes. Quand j’aurai triomphé de tout, tu auras ta place dans mon Olympe, comme j’ai ma place dans ta maison. Ne m’attends pas ce soir, car la nuit sera noire et blanche.
Gérard Labrunie
24 Janvier 1855