Paroles: M.Valmur. Musique: T.Geoffroy, C.Loigerot 1996 "Coeur de verre"
J'ai tendance à rêver
A oublier les gens
A pas les écouter
Ou bien à faire semblant
Moi j'aime bien m'absenter
Je sais c'est énervant
J'peux pas vraiment lutter
Contre mon tempérament
J'ai tendance à aimer
A me bercer d'illusions
A m'laisser entraîner
Sans me poser de questions
Je veux juste oublier
Etre toujours dans la lune
Croire que c'est arrivé
Quand je rame sur les dunes
C'est vrai, c'est vrai
J'ai tendance à rêver
Alors je gâche des instants
Des occases de t'aimer
C'est vrai, c'est vrai
J'suis vraiment tête en l'air
Mais faut pas m'abandonner
Dans les rues en hiver
Faut pas m'abandonner
Dans les rues en hiver
J'ai tendance à rêver
Pour compenser le vide
A doucement m'esquiver
Pour ne pas prendre une ride
Oh j'ai la peur tu sais
Qui me tenaille le ventre
Des entailles dans le cœur
Et une flèche en plein centre
C'est vrai, c'est vrai
J'ai tendance à rêver
Alors je gâche des instants
Des occases de t'aimer
C'est vrai, c'est vrai
J'oublie le plus important
Mais ça m'empêche pas de t'aimer
Ça j'en fais le serment
Ça ne m'empêche pas de t'aimer
Ça j'en fais le serment
Ça j'en fais le serment
C'est vrai, c'est vrai
J'ai tendance à rêver
Mais ça m'empêche pas de t'aimer
Ça j'en fais le serment
Ça m'empêche pas de t'aimer
Ça j'en fais le serment
C'est vrai, c'est vrai
J'ai tendance à rêver
Alors je gâche des instants
Des occases de t'aimer
C'est vrai, c'est vrai
J'oublie le plus important
Mais ça m'empêche pas de t'aimer
Ça j'en fais le serment
Ça ne m'empêche pas de t'aimer
Ça j'en fais le serment
Ça j'en fais le serment
Paroles: Hélène Segara – Mathias Goudeau – Emmanuelle Cosso. Musique: Alain Lanty 2006 "Quand l'éternité"
De la nuit, les secrets qui nous mènent à l'aurore
De nos plus beaux silences, j'attends
De la vie, les chemins qui nous rendent plus forts
Des rendez-vous fuyants, J'attends
Des envies, des erreurs et des espoirs encore
De tous vos yeux si grands, j'attends
Et même quand je m'endors,
J'espère encore
on peut s'aimer, s'abandonner
mais ça n'est jamais suffisant
on peut rêver, et tout donner
quand on sait qu'on a tout son temps
pour changer ce monde
Des chagrins de la vie qui se fanent en remords
Des douleurs en sursis, j'attends
Du soleil éclatant de mon enfant qui dort
De mauvais sentiments, j'attends
Quand la colère me mord
parce que l'homme ignore
Qu'il n'est rien parmi tant, j'attends
Quand l'amour s'évapore, J'espère encore…
on peut s'aimer, s'abandonner
mais ça n'est jamais suffisant
on peut rêver, et tout donner
quand on sait qu'on a tout son temps
pour changer ce monde
Des moments de néant, des épreuves du temps,
tout ce qu'il y a de beau, je prends
Je sens partout l'amour,
quand se mêlent nos coeurs et nos corps
De chaque instant, je cherche l'or…
on peut rêver, et tout donner
quand on sait qu'on a tout son temps
pour changer ce monde
on peut s'aimer, s'abandonner
mais ça n'est jamais suffisant
on peut s'aimer, s'abandonner
mais ça n'est jamais suffisant
on peut rêver, et tout donner
quand on sait qu'on a tout son temps
pour changer ce monde
Au bout d'la route, au bout du compte
les seuls jolis moments qui comptent
sont ceux dont on n'se souvient pas
les patins ça roule, les souvenirs ça tangue
j't'avais sur le bout d'la langue, j'te savais sur le bout des doigts
Aujourd'hui
Quand j'oublie
Je n'oublie que toi
Je n'oublie que toi
A bout portant, à boulets rouges
sur tous les sentiments qui bougent
j'ai fait feu sans savoir pourquoi
j'ai brûlé par deux tous les bouts d'chandelles
j'ai cassé le p'tit bout d'ficelle
que t'avais noué à mon bras
Avant qu'j'arrive au bout d'mes peines
toujours le chagrin me ramène
au jour où j'ai pleuré pour toi
depuis de jour-là, la terre a la fièvre
on s'est quitté du bout des lèvres
au bout du monde, où que tu sois