De la nostalgie d'une compagnie aerienne vilipendee a celle d'un pavillon hospitalier debaptise, en passant par l'horreur d'un commissariat a la solde de policiers vereux, avec une escale dans un bureau de vote risible et un arret sur les coupures intempestives des routes. Voila la balade a laquelle nous convie Edouard Elvis Bvouma dans sa seconde publication.