Alexandrie, la ville refuge, est decrite ici comme point d'attraction pour les Juifs persecutes ou victimes de troubles interieurs et de conflits armes qui, sous l'Empire ottoman, ont choisi l'Egypte comme patrie. Ils ont trouve en elle un havre et laisse sur elle leur empreinte culturelle. L'auteur decrit les experiences de ses grands-parents qui ont tous, pour une raison ou une autre, quitte leur pays d'origine pour s'installer en Egypte, et notamment a Alexandrie.