La langue comme chasse-neige, comme repoussoir. La langue comme un pinceau, parcourant sans gene les hantises, les scenes et les moments. Ici la langue est poussee, comme beche, travaillant dans une realite a peine devoilee. Pourquoi les terminaisons ? Par le devoir d'en finir, pour rompre un peu cette monotonie des choses vues et revues, classees et reclassees. Pour trancher, clore, dans le vif du sujet.