Ces visages ne sont que des portraits ; de petits portraits de voyages qui - de Marseille a Vigo ou de Rome a Ostende - ne repondent qu'au hasard, croise, du regard et de la memoire. Construits comme des tableaux, des horizons contradictoires, ce ne sont que des artifices - un art mineur du langage - mais qui nous laissent un instant, comme des pas sur le sable, l'empreinte marquee d'un passage.