Avec "Nunuche" et "Les pompes neantes", c'est de la "bastringue" qu'il s'agit, de realites theatrales intempestives, de clowneries qui veulent octroyer au drame, cette pretention transcendentale, d'exister... et d'en savoir mourir. Jean Gillibert a souhaite que les "Enfers" ne soient plus seulement sous les planches et qu'il faille frapper fort - apres les trois coups du "brigadier"- pour les faire surgir sur scene, a hauteur de public. Nunuche est une bouffonnerie poetique qui d'evade un peu vers la feerie...Toutes deux s'attachent a faire vivre un realite fantastique, une surrection du reel vers le surnaturel.