L'image temoigne toujours du reel dans son aspect le plus tranchant. Elles apparaissent comme ontologiquement necessaires lors des conflits, des guerres, et plus particulierement lors de cette atrocite qu'est le genocide. Il s'agit simplement de temoigner de toutes les douleurs et de toutes les injustices pour tenter de les prevenir, dans ce monde si feru d'oubli. Car un genocide est toujours possible, n'importe ou, n'importe quand.