"Notre bonhomme gardait les yeux baisses. Il ne voyait que les pattes du cheval. Il n'y en avait que trois. Une seule touchait le sol ; la seconde se mouvait dans l'espace infini ; la troisieme galopait toute seule dans une region qui n'etait ni sol, ni espace... Tout le monde, a part le muet et le bebe, possede l'usage de la parole ordinaire. Mais la parole magique, il faut la demander ! Si personne ne repond yekrak a yekrik, le conte n'a aucun effet."