Dans ce second volume, Henri Heinemann nous offre le journal qu'il tint en ces annees-la avec une formidable fluidite dans l'expression et une lucidite extreme. On traverse la France des annees Giscard, ses espoirs, ses flambees ; on y rencontre les ecrivains de ces annees-la. Son document a l'epaisseur des dits humanistes ; il est egalement la photographie d'une certaine France.