Mais l'enfance / N'est qu'un fumier splendide. L'ultime vers des poemes de Nicolas Bellisario, date de septembre 2002, devait clore de maniere enigmatique deux annees d'intense creation poetique et de folie sociale. L'entreprise du Poete d'entrainer la Beaute aux confins de la convulsion des mots et d'incarner ce Verbe des soubresauts de sa plume etait alors, selon ses dires, bel et bien achevee. Pourtant, il devait s'emparer des la fin de cette meme annee d'une nouvelle forme d'expression litteraire : le haiku.