La franc-maconnerie, avec ses rites et ses pratiques, suscite souvent l'amusement au XIXe siecle. Pour pluchonneau, si une admission dans une loge consiste en " quelques mots mysterieux, une peignee, des torgnoles et un charivari a rompre le tympan ", il depeint par ailleurs avec bonhomie et bienveillance les usages maconniques parisiens du XIXe siecle, sur le mode inhabituel de l'entomologiste badin.