Est-il possible de ne pas regarder le handicap, quel qu'il soit, comme une fatalite ? Et si nous croyons que rien n'est ecrit d'avance, comment faire pour permettre aux divers acteurs concernes d'en sortir ou de participer a une "defatalisation eventuelle"? Se basant sur des situations concretes, les auteurs ont cherche a eclaircir les concepts de fatalite, de destin et de fatalisation. Comment a terme dans ces situations, certaines personnes et certaines institutions tentent malgre tout d'en sortir ?