La prise en compte de la fonction de l'ecriture dans la psychanalyse nous est imposee par la clinique. Interroger la fonction de l'ecriture ouvre sur les savoirs de la psychose. Qu'y a-t-il de si radical, pour la psychanalyse, dans la dimension de l'ecriture ? A quel type d'operation psychique repond l'acte d'ecrire ? Jusqu'a quel point l'analyste devra-t-il se soumettre lui-meme a un exercice de transmission ecrite pouvant aller jusqu'a la publication de ses "ecrits" ?