Si, a notre epoque, le travail est lieu de satisfactions, il semble que ce soit d'abord parce qu'il permet de vivre decemment, du moins plus ou moins decemment, a ceux et celles qui beneficient d'un emploi. Car ensuite les conditions d'exercice de cet emploi apparaissent comme etant frequemment sources de souffrances : charge physique excessive, stress, sentiment d'injustice, voire de servitude et d'alienation sont ainsi ici evoques. Tout ceci amene a reconsiderer le sens donne au travail, en fonction de la repartition des activites dans et hors travail.