Dans ces nouvelles, Ridha Bourkhis chante la mer, fluctuante et profonde. Il recueille dans le spectacle de ce bleu quelques vrits fuyantes et mtonymiques, sur l'essence des tres, sur l'infinie grandeur de la cration, sur les vertus prophylactiques du dialogue intrieur permanent que noue un tre humain, selon le rituel des retrouvailles fusionnelles, avec une mer hospitalire... (Hdi Khlil)