Entre ecriture et oralite, les langues s'interpenetrent, puis s'emmelent. Tout Etat, pour dire "son" droit, choisit une langue ou en designe plusieurs comme "officielles" ou "nationales". Les formes d'intercommunication indispensables a la cohesion sociale sont ici mises en regard, retenant d'une part les caracteristiques de la langue du droit face a la langue de droit(s), et, d'autre part, les fonctions sociales d'une langue par rapport a son statut en droit.