Ce livre a deux volets se presente comme un poeme de la difficulte d'etre. On eprouve ici le tragique de la solitude, comme une oppression douloureuse. Mais, cheville au corps, demeure l'espoir, cet immense desir de lumiere. Oui, la vie est la qui palpite encore faiblement ; une main se tend au bord de la nuit ; oui, quelqu'un frappe a la porte : voici le temps d'eveil et de joie, le plain-chant de l'arbre de vie.