Le controle fiscal qui a toujours eu une place pregnante dans l'administration de l'impot au Cameroun a pris un relief nouveau du fait de l'entree de ce pays dans l'ajustement structurel, dont l'un des imperatifs majeurs demeure la mobilisation accrue des recettes fiscales. L'auteur essaie de determiner le point d'equilibre entre les prerogatives d'une administration en quete de performances fiscales et les droits des contribuables soucieux de payer le juste prix en matiere d'impot.