A l'occasion d'un salon du livre, au Mans, consacre aux Peuples du desert, l'essayiste Georges Jean a rencontre Na'ana Labbat El-Rachid. Elle arrivait du sud-ouest algerien avec le manuscrit d'un long poeme intitule La plume prisonniere, chant d'amour d'un lyrisme eperdu et cri d'une femme pour l'independance de sa patrie captive. Na'ana Labbat El-Rachid est sahraouie.