... je n'arrive pas a dechiffrer sur ma peau la date de peremption. Il s'agit bien d'aggravation(s), et on se demande jusqu'ou ira cette spirale infernale ou la peur peut apparaitre comme la fiancee aveugle de la mort. Curieusement, le pluriel que souligne l'auteur porte en soi une sorte de redemption qui s'arrime au vers/a quoi ?/rime sa vie a/rien. "Aggravation(s)" est une belle oeuvre d'acceptation de la vie crispee sur la mort, de la mort qui souleve un terroir fertile. (Michel Cassir).