Cet essai porte sur la dimension du visible questionnee dans un contexte contemporain d'espaces travailles par les images de toutes natures. Les environnements visuels dans lesquels nous sommes plonges avec la culture mediatique, induisent des mutations perceptives fortes. Car un veritable paysage d'images se constitue au jour le jour, comme un processus nous enveloppant insidieusement dans une atmosphere imaginaire et effective. C'est une anthropologie du trouble qui est ici tentee.