Ferenczi a beaucoup ecrit, enseigne, cherche, trouve et cherche encore ; il a fonde l'Association internationale de psychanalyse et fut titulaire en Hongrie de la premiere chaire de psychanalyse. Et pourtant, a sa mort, il est vilipende. Qui etait ce Hongrois, a la fois si proche et si etranger ? Que representait-il de si dangereux pour les psychanalystes, ses contemporains qui l'ont etouffe et de si precieux pour nous, ses successeurs qui ont enfin la possibilite de le lire ?