Si la ville guineenne a beaucoup d'attrait sur les populations rurales, elle s'affirme aussi comme le lieu des illusions perdues. Cadre administratif aussi bien que politique, la ville engendre la misere, les souffrances, les arrestations arbitraires, l'emprisonnement, la prostitution. La ville apparait vraiment comme le symbole de l'echec patent du regime politique installe au pouvoir a la faveur de l'independance du pays. C'est l'objet de ce troisieme volume.